Pour un français qui veut partir étudier au Canada, il est certain que son choix va principalement se porter sur des villes francophones, notamment le Quebec, dont la langue officielle est le français.

En effet, ce choix est tout à fait judicieux car va principalement faciliter les études puisque l’étudiant français n’aura pas besoin d’apprendre d’autres langues vu que c’est sa langue natale qui est utilisée pour les cours.

Toutefois une question se pose et c’est, est-ce que le seul fait de parler le français peut suffire pour étudier dans une ville francophone du Canada ou est-ce qu’il faut également savoir parler d’autres langues comme l’anglais ? C’est ce qu’on va voir ici.

Le Quebec est la seule province canadienne où l’on pare essentiellement le français

Tous ceux qui prévoient d’étudier au Canada le savent certainement que ce pays est principalement bilingue, de ce fait on y parle majoritairement l’anglais et le français, même si d’autres langues comme le penjabi peuvent être également utilisées.

Cependant, il faut préciser que les proportions concernant ses deux langues officielles présentent un énorme écart. Effectivement, si plus de la moitié de la population du Canada parle l’anglais, seulement moins de 25 % utilisent le français et ces derniers se trouvent principalement au Quebec qui est l’un des régions où trouvent le plus de canadiens francophones.

Donc, d’après cela, la seule connaissance de la langue française peut très bien convenir à un étudiant français à condition que ce dernier choisisse principalement des villes ou des régions où le français est la langue la plus utilisée.

Certaines universités francophones du Canada proposent des cours en anglais

Même si ce qu’on vient de dire plus haut conforte l’idée que le fait de parler le français peut suffire pour étudier au Canada, il faut quand même préciser que depuis quelques années, l’anglais est de plus en plus utilisé dans les universités francophones du Canada, même celles qui se trouvent au Quebec, qui normalement favorise la langue française.

Donc, un phénomène d’anglicisation de grande envergure est donc en train de s’opérer dans les régions francophones de ce pays de l’Amérique du nord, ce qui vient signifie qu’apprendre l’anglais est donc actuellement un prérequis.

Toutefois, même si cela puisse apporter quelques problèmes, surtout pour les étudiants qui parlent français, il faut quand même dire que cela peut être tout à fait bénéfique pour ces derniers, car c’est une occasion d’élargir ses compétences linguistiques, ce qui sera toujours un atout négligeable.